19.10.05

L'INCARNATION





Dans l'histoire du monde, deux femmes - et deux femmes seulement - voient le jour sans le péché originel. La première est Eve. La seconde est Marie.

Eve est à la source du péché originel. Ele voir le jour dans un paradis, mais elle désobéit a Dieu. Elle plonge l'humanité dans un abîme de chagrin.

Marie voit le jour dans un monde délabré, mais elle obéit a Dieu. Elle répare le mal causé par Eve. Le péché l'éparge parce que c'est par elle que Dieu descendra dans le monde.




Alegra-te, favorecida, o Senhor está contigo. Ao ouvir isso, ela se pertubou e refletia que tipo de saudação era essa. O anjo lhe disse: Não temas, Maria, pois gozas o favor de Deus. Conceberás e darás à luz um filho, a quem chamarás Jesus. Ele será grande, levará o título de Filho do Altissímo ( Lc 1 28-32)

MARIE, MÈRE DE DIEU

Dès l'origine, le mystère de l'Incarnation est nié par des adversaires. Toute la prodigieuses série de querelles auxquelles Arius, Eutychès, Nestorius et bien d'autres ont attaché leurs noms, qui ont fait couler tant d'encre et tant de sang et qui sont comme le modèle de tout débat métaphysique, tourne autour de l'Incanation - et donc autour de Marie. Refusant de mettre le Fils au même rang que le Père, um moine d'Alexandrie, Arius, va jusqu'à nier la divinité de Jésus et la réalité de l'Incarnation. Père de ces nestoriens que se répandirent, après les ariens et contra eux, dans le bassin méditerranéen et en Asie, Nestorius, patriarche de Constantinople, soutient que Marie peut être dite Christotokos, c'est-à-dire "mère du Crist", mais non pas Theotokos, " mère de Dieu". Nestorius est condammé à Ephèse en 431. Pour le christianisme orthodoxe, et d'abord pour l'Eglise catholique, apostolique et romaine, Marie est la Mère de Dieu.

17.10.05

Artefato nipônico

A borboleta pousada
ou é Deus
ou é nada.
(Adélia Prado)

Viajar pelo infinito do nosso ser...e ter paz

TU E O OUTRO

Quanto menos atenção eles dão aos próprios pecados, tanto mais os humanos demonstram interesse nos pecados alheios. Estão em busca, não do que possam corrigir, mas antes, do que possam atacar. Já que não se podem desculpar a si mesmos, estão prontos a acusar os outros.
(Agostinho de Hipona)